Deux vitesses? Pour les autres, ok, pas pour moi
Voici un pauvre hère, qui se plaint de ne pas avoir été traité comme un VIP, que l'on ne se soit pas occupé de lui comme il fallait.
Mouchoirs, pleurs...
"Chambre individuelle et suppléments d'honoraires * : une médecine (de plus en plus ?) à deux vitesses selon les moyens financiers du patient ?"
"L'histoire de l'UZ Leuven m'a rappelé ma propre expérience en 2015. Lorsque "mon" médecin de l'hôpital m'a demandé, lors de la fixation de la date de mon opération, si je prenais une chambre particulière et que j'ai répondu par la négative, j'ai vu l'expression de son visage changer. Par la suite, je ne l'ai plus vu, ni au moment d'entrer dans le bloc opératoire* ni dans les jours d'hospitalisation qui ont suivi. Je n'ai plus eu affaire qu'à son (jeune) assistant. Je ne suis même pas sûr que ce soit lui qui m'a opéré. (*) sauf qu'il est passé dans le couloir menant au bloc opératoire sans s'arrêter en se limitant à un laconique "Ca va ?" avant de disparaître sans attendre une réponse...."
En fait, le plus sidérant, c'est que cette personne avait expliqué, sans honte, que lorsque des élèves arrivaient en 5ème sciences économiques, sans avoir fait de l'économie avant, ces élèves se voyaient proposer des cours de mise à niveau .... payants.
Donc, il y avait les élèves qui pouvaient payer, et les autres. tant pis pour eux.
L'enseignement à deux vitesses, pas de souci. Mais qu'un médecin ne vienne pas papoter avec moi pendant une demi-heure plutôt que de se préparer, ça c'est inacceptable. Et ne pas être opéré par le professeur mais par un assistant, quelle injure. Les assistants doivent opérer les autres, pas ce pauvre hère. Casimodo...
De plus, quand il a dû déclarer les revenus de ces cours qu'il faisait payer, il a préféré arrêter.
Parce que les impôts, c'est bien, cela sert à financer les services publics.
Enfin, c'est bien quand ce sont les autres qui les payent...
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